Un autre voyage - Info littéraire

Voilà un endroit que l'on aimerait bien explorer...
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Rien de plus facile !

Après mon texte "La Boifouille", qui a reçu le Prix René Barjavel 2014 de la meilleure nouvelle au Festival les Intergalactiques de Lyon, à lire dans la revue culturelle l'Incontournable magazine N°10, un autre de mes textes est publié dans l'anthologie fantastique Malpertuis VI des Editions Malpertuis, intitulé "LLoupa Rouge". 

D'ici décembre 2015, l'excellente revue Gandahar va aussi présenter une autre de mes nouvelles, "Effeuiller la marguerite".

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Encore 3 autres bonnes nouvelles en cette fin d'année 2015 pour des publications début 2016 !

Tout d'abord j'ai reçu le Prix Inspecteur Bonnier de la nouvelle policière (!), avec mon texte "La bigote ne fait pas le moine". Une publication à paraître dans un recueil aux éditions du Poutan.

Ensuite, les superbes Editions Luciférines ont sélectionné pour une anthologie fantastique sur les chats, ma nouvelle intitulée "La cage aux fioles".

Et enfin la revue Espace(s) du CNES !!!! publiera dans le numéro 12 "En attendant Lobo", un texte SF post-apo qui se déroule sur Mars, avec du Beckett dans l'air de la planète rouge...

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Bien longtemps avant d'être publié, je m'étais mis à suspendre des livres dans les friches industrielles et autres lieux abandonnés. Un moyen de questionner la censure ainsi que la place du livre dans notre monde. Le plus étrange est de retrouver "La nuit des temps" et "Malpertuis" dans mes photos, comme un signe des nouvelles et formidables rencontres qui devaient se produire. 

Ecrire pour Malpertuis me semblait aussi inaccessible que les lieux où je m'infiltre, ces endroits fantastiques dans lesquels il est facile de perdre pied en un instant, alors que l'on souhaitait seulement pousser la porte et faire un clin d'oeil à l'Inconnu.
Comment dans ces conditions interpréter "The Shuttered Room", de l'incontournable Lovecraft ? Une ébauche pour un prochain texte ? Une quête à travers les labyrinthes métalliques d'usines oubliées pour interpeller les Grands Anciens ?

Tout comme la littérature, l'Urbex est une exploration étrange qui réserve de nombreuses et étonnantes surprises.

N'oubliez pas de visiter mon autre site, Dystopie urbaine

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Que faire lorsque les océans sont soudain infestés de monstres marins ? Comment réagir lorsqu’un être humain tente de ervertir une communauté de zombies ? Peut-on emprisonner un démon dans un jeu vidéo ? Qui est ce vieillard interné dans l’hôpital de Bucarest qui semble avoir un ascendant incompréhensible sur les autres patients ? La physique quantique peut-elle casser des briques ? 22 auteurs tentent de répondre à ces questions, et bien d’autres en des univers dont l’humour est rarement absent…


Nouvelles d’Anthony Boulanger, Barbara Cordier, Bénédicte Coudière, Yves-Daniel Crouzet, Alain Doré, Sarah Dunkel, Xavier-Marc Fleury, Thierry Jandrok, Olivier Jarrige, Kevin Kiffer, Marie Latour, Dominique Lémuri, Pascal Malosse, Milora, Nokomis M, Véronique Pingault, Elisa M. Poggio, Bruno Pochesci, Emilie Querbalec, Guillaume Suzanne, Sylas, Eric Vial-Bonacci.

Titre : Malpertuis VI (n°33)

ISBN : 978-2-917035-37-5


Prix : 16 euros


Dirigée par : Thomas Bauduret 

Anthologie disponible en librairie et sur le site de l'éditeur.

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Le hangar de César

Suite du périple en Catalogne

Voilà, je suis passé de l'autre côté des grilles de ce hangar trouvé par hasard au bord d'une route, 

alors que je cherchais un autre spot jamais trouvé

et en me retournant, je me trouve nez à nez, si l'on peut dire, avec dos chicas guapas !

César

Graffiti immense et de toute beauté

Depuis le temps que l'on dit que Jésus est un alien, en voici la preuve

Seul visage humain croisé dans ce lieu vraiment agréable à photographier

De retour avec Dudur à Béberalex

Ce qui est toujours impressionnant dans ces friches, c'est la dichotomie flagrante qui règne entre l'obscurité et la lumière. 

On pourrait se dire que tout est voué à la pourriture et au désastre, que tout est sombre et fracassé. Il y a certes une part de vérité dans cette description et il peut paraître étrange de trouver quelques plaisirs à déambuler dans des milliers de m2 inconnus et délabrés. A bien réfléchir, les mondes de Monsu Desiderio ou d'Hubert Robert ne sont pas si éloignés de nos ruines contemporaines et me plaisent autant.

Et si l'on sait où regarder, on peut aisément naviguer entre le clair et l'obscur et profiter pleinement de ce tourisme alternatif qu'est l'urbex.

La couleur comme seule compagnie

La roue du destin qui a mal tourné 

 

un rai de lumière pour montrer le chemin

La fin de tout, comme une lave de boue qui recouvre les dernières traces de vie